Tour d’horizon du modèle identitaire du Danemark

Le Danemark, bien que dirigé aujourd’hui par une coalition de gauche, est en train de montrer au monde occidental un exemple de société identitaire et progressiste relativement dure sur l’immigration. Ce pays pourtant au sein de l’UE, est capable depuis plusieurs décennies de prendre des décisions très fortes en termes de politique migratoire, en plus de s’en sortir très bien économiquement. Une étude attentive de ce cas particulier européen pourrait inspirer les politiques futures de la France.

La situation démographique du Danemark et les statistiques sur l’immigration

La population du Danemark est de 5,8 millions d’habitants. Il faut d’abord comprendre que c’est un petit pays avec une démographie réduite, qui n’a jamais connu dans son histoire de vagues d’immigration. Le Danemark se trouve être un des pays occidentaux les plus transparents concernant sa démographie et l’impact de l’immigration sur la société. Il est donc possible de tirer de nombreuses leçons des données fournies par les autorités danoises.

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Quelle est la part de l’immigration dans la société danoise?

  • La part d’immigrés et des descendants d’immigrés au Danemark s’élève à 14%.
  • La part d’immigrés et de descendants d’immigrés en provenance de pays non-occidentaux s’élève à hauteur de 9%.
  • 58% des immigrés et descendants d’immigrés sont d’origine occidentale.

Cependant, sera considérée comme danoise d’origine une personne née:

  • De deux parents d’origine danoise
  • D’un père danois et d’une mère immigrée au sein d’une union maritale
  • D’une mère danoise et d’un père immigré
Source : StatBank Denmark

Quels sont les pays d’origine de l’immigration au Danemark?

L’immigration au Danemark diffère énormément de l’immigration en France.

  • Les immigrés occidentaux de la société danoise proviennent principalement d’Allemagne, de Pologne, de Suède et de Norvège.
  • L’immigration non-occidentale provient essentiellement de Turquie, de pays de l’ex-Yougoslavie et dans une moindre mesure de pays tels que l’Iran, l’Irak, la Syrie, le Pakistan.
  • L’immigration africaine reste faible au Danemark, ce qui est une différence majeure avec l’immigration pratiquée en France.
Immigrés et descendants au Danemark en au 1er janvier 1980 et au 1er janvier 2020 selon l’origine : 15 principaux pays, Occidentaux/Non occidentaux, Continents. Source : StatBank Denmark.

Quel est l’impact de l’immigration sur l’économie et la criminalité au Danemark?

Le Danemark est le pays occidental qui propose les statistiques les plus complètes sur l’impact de l’immigration sur la société.

Sur l’économie, l’immigration européenne se révèle beaucoup plus rentable économiquement que l’immigration extra-européenne. Seules les immigrations extra-européennes en provenance de Chine, d’Ukraine et d’Inde se révèlent bénéfiques économiquement. Les immigrations en provenance de Somalie, du Liban, d’Afghanistan et de Syrie se montrent les plus désavantageuses. L’immigration marocaine, très importante en France, est classée parmi celles qui sont désavantageuses économiquement.

Sur la criminalité, on constate que les immigrés extra-européens commettent plus de crimes que les immigrés européens en proportion de ce qu’ils représentent dans la société. En compilant les données du Statistikbanken du Danemark sur les crimes jugés de 2015 à 2018, soit plus de 759 696 affaires, nous pouvons arriver à un indice de surreprésentation dans la criminalité, qui représente la criminalité qu’une population donnée commet en plus par rapport à la population générale.

Avec cet indice, que constate-t-on? La surreprésentation des immigrés extra-européens de première génération dans la criminalité est de +67%, tandis que les immigrés européens sont sous représentés, commettant -8% de crimes comparé au reste de la population en proportion de leur démographie. Ce qui veut dire qu’un immigré extra-européen de première génération sera 1,80 fois plus susceptible d’être jugée pour un crime qu’un immigré intra-européen.

Mais plus important encore, on constate que les descendants de l’immigration européenne s’intègrent bien mieux à la société danoise que les descendants de l’immigration extra-européenne. Alors que la descendance de l’immigration européenne arrive à être moins criminogène que la population danoise d’origine, l’immigration extra-européenne ne s’intègre pas, et se montre plus criminogène encore que la première génération.

Les immigrés européens sont déjà sous-représentés dans la criminalité à la première génération, mais cette sous-représentation s’accentue dès la seconde génération, passant de -8% à -41%. Les descendants d’immigrés en provenance de pays occidentaux deviennent moins criminogènes que les danois d’origine à partir de la seconde génération. Mais dans le même temps, la surreprésentation des immigrés extra-européens continue d’augmenter. A partir de la seconde génération, les descendants d’immigrés extra-européens culminent à +98% de surreprésentation dans les crimes commis. Les chiffres danois montrent que la seconde génération d’immigrés extra-européens est moins intégrée que la première, et possède 18% de chance supplémentaires que leurs parents d’être jugé pour un crime.

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Cependant cette différence flagrante entre les flux d’immigration est accentuée quand on regarde certaines catégories de délits. Pour les tentatives d’homicides, cette surreprésentation atteint +279% pour les immigrés extra-européens, et +850% pour leurs descendants. Il en va de même pour de très nombreuses catégories de délits: viols (+464% et +158%), les agressions aggravées (+202% et +443%), le trafic de drogues (+53% et +304%), etc.

La seule catégorie de criminalité dans laquelle les descendants d’immigrés extra-européens sont moins criminogènes que leurs ainés est celle des viols (+464% contre +158%), probablement du fait de la relative nouveauté de certaines vagues d’immigration venues de pays où la culture du viol est davantage dominante.

Personnes coupables de crimes selon le type d’infraction, l’ascendance et le temps. Sources : https://www.statistikbanken.dk/STRFNA10 & https://www.statistikbanken.dk/folk1e.
Pour télécharger le fichier complet, cliquez ici.

La première leçon qu’offre le Danemark est qu’il existe autant d’immigrations différentes qu’il existe de populations différentes. On ne peut pas mesurer l’effet de l’immigration, qui est un concept vide de sens. On peut en revanche mesurer l’effet d’une immigration précise. Si l’immigration européenne se montre bénéfique, ce n’est pas le cas de l’immigration extra-européenne.

La seconde leçon qu’offre le Danemark sur l’intégration de l’immigration extra-européenne est que le volume des flux migratoires ne semble pas être le problème. Malgré des volumes d’immigration bien moins conséquents qu’en France, l’intégration n’a pas lieu pour les immigrés extra-européens au Danemark non plus.

Quelle est la natalité de la population danoise?

Le Danemark pourrait être un exemple de remontée miraculeuse de la natalité autochtone dans un pays occidental. Alors qu’il était très bas en taux de fécondité dans les années 80, au moment de l’arrivée de la plupart des vagues d’immigration, des politiques de natalité fortes ont été mises en place par les gouvernements successifs, permettant de faire remonter la natalité à un seuil proche de celui du renouvellement.

  • Le Danemark montre une remontée dans le taux de natalité impressionnante depuis les années 80. Alors que le pays stagnait à un taux de fécondité de 1,38 en 1983, le Danemark a effectué une remontée impressionnante de sa natalité pour atteindre 1,85 en 2022. Ce taux de fécondité est stabilisé autour de 1,8 en 2022.
  • Cette remontée est avant tout due à la natalité autochtone, la natalité extra-européenne ayant très fortement chuté durant ces quarante dernières années pour atteindre la moyenne nationale. Dans les statistiques danoises, on constate qu’il n’y a pas de différence significative entre le taux de fécondité global et le taux de fécondité hors immigration. Au Danemark, le taux de fécondité global n’est pas revu à la hausse de manière significative par la natalité allochtone.
Évolution de l’indicateur conjoncturel de fécondité selon l’origine de 1986 à 2019. Les données sur les descendants d’immigrés sont lissées sur trois ans. Source : StatBank Denmark.

La politique nataliste danoise

Comme nous l’avons vu, la remontée de la natalité danoise se montre particulièrement spectaculaire. Tout comme la France, le Danemark fournit de nombreuses aides pour stimuler la natalité. On peut ainsi trouver au Danemark des congés parentaux étendus et des allocations sociales. Si le congé parental au Danemark va jusqu’à 24 mois pour chacun des deux parents, avec la possibilité de convertir ce temps de repos en aide financière, les deux systèmes sociaux tendent à se valoir. En 2013, la France et le Danemark dépensaient tous deux environ 3,5% de leur PIB dans la politique familiale.

Sobotka, Tomas & Matysiak, Anna & Brzozowska, Zuzanna. (2020). Policy responses to low fertility: How effective are they?

La différence entre la natalité autochtone des deux pays ne se situe pas vraiment au niveau de l’action de l’Etat mais bien au niveau de la culture danoise. Cette différence culturelle peut se traduire de différentes façons:

  1. Une politique d’éducation sexuelle à l’école centrée sur une image positive de la natalité, avec l’objectif, sans revenir sur les droits des femmes, de réduire le nombre d’avortements qui constituent encore 21% des naissances potentielles.
  2. Une plus grande acceptation de l’aide à la procréation, avec 8 à 10% des bébés danois qui naissent avec ces technologies, faisant même du Danemark une destination privilégiée pour les Européens en mal d’enfants. Cette plus grande acceptation se traduit par un accès à des méthodes plus efficaces, tel que le recours plus massif à l’usage de la technologie de la congélation d’œufs pour les femmes actives, méthode préventive donnant des meilleurs résultats que les traitements de fertilité.
  3. Mais le plus fondamental reste l’image positive de la natalité dans le débat public. Tout d’abord, dans la culture danoise, une famille nombreuse est vue comme un signe de richesse extérieure et de bon statut social, ce qui est une différence majeure avec la culture française qui verra ça plutôt comme un signe de pauvreté et de bas statut. Le monde professionnel danois est plus tolérant sur l’équilibre entre obligation professionnelle et obligation parentale. De plus, ce qui semble avoir eu le plus d’impact est l’image positive de la natalité dans les médias, avec par exemple un spot publicitaire produit par la compagnie aérienne Spies Rejser travel, qui a provoqué une petite embellie dans la natalité dans les années 2015. L’idée était simple: les enfants danois sont statistiquement davantage conçues pendant les voyages. Les spots publicitaires étaient pédagogiques, humoristiques, et vantaient une image positive de la natalité. L’usage de la publicité pour encourager les gens à avoir des enfants a réellement fonctionné.

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L’historique du modèle danois

Le virage identitaire du Danemark ne date pas de ces dernières années. C’est une longue histoire, qui repose essentiellement sur une extrême-droite qui ne se voit pas dans un rôle contestataire, mais comme une entité capable de faire des coalitions et de peser sur le reste du spectre politique. Quand on étudie la politique d’immigration du Danemark, on est abasourdi par l’avalanche de mesures votées par les Danois en deux décennies.

Le gouvernement Mette Frederiksen, élu en 2019, est peut-être celui le plus à gauche qu’a vu le Danemark depuis longtemps. Il se différenciait notamment par une politique assimilationnisme assez stricte, avec la volonté de répartir les populations à problème sur le territoire, en interdisant dans les quartiers une présence de plus de 30% de non-occidentaux, ainsi que par la volonté de mettre en place un plan Marshall pour le développement de l’Afrique afin de limiter les flux. Cependant, il affiche depuis lui aussi une volonté très claire d’inverser les flux migratoires et de renforcer la natalité, en actant l’impossibilité de l’intégration d’un tel volume d’immigrés. Ce gouvernement se caractérise aujourd’hui par une accumulation assez spectaculaire de mesures restrictives sur l’immigration qui feraient pâlir n’importe quel parti d’extrême-droite en France.

Le 22 janvier 2021, Mette Frederiksen, a déclaré vouloir « réduire les demandes d’asile à zéro ». Un projet de loi a été voté pour sous-traiter l’hébergement des demandeurs d’asile dans des pays tiers comme le Rwanda. En avril 2021, le Danemark sous l’impulsion du gouvernement Mette Frederiksen a adopté la déchéance de nationalité pour les détenteurs d’une double nationalité en cas d’atteinte grave aux intérêts vitaux du Danemark. A été aussi supprimé l’octroi automatique de la nationalité danoise aux enfants nés dans des zones de conflit frappées d’une interdiction d’entrée et de séjour. Et plus important encore, a été adopté le bannissement à vie de la nationalité danoise des personnes ayant déjà été condamnées avec ou sans sursis.

Avant cela, sous l’impulsion du gouvernement Lars Løkke Rasmussen (libéral en coalition avec le parti d’extrême droite, le Parti du peuple danois, de 2009 à 2019), le regroupement familial ne constituait plus un droit, même pour le conjoint et les enfants. Le regroupement familial est devenu compliqué même pour les couples mariés dont un seul des époux possède la nationalité danoise. Chaque demande fait l’objet d’une appréciation individuelle auprès de l’administration en charge de l’immigration.

Durant cette législature, le permis de résidence permanent au Danemark ne peut plus être acquis qu’après huit ans de séjour légal sur le territoire et à des conditions extrêmement strictes (casier, judiciaire vierge, travail à temps plein pendant au moins 3,5 ans au cours des 4 dernières années, test de citoyenneté portant sur les « valeurs danoises » réputé extrêmement difficile, enquêtes visant à vérifier le partage des valeurs danoises, etc), avec exigence d’autonomie financière. Aussi, le doublement des peines dans les quartiers difficiles a été proposé en 2018 par ce même gouvernement de droite, proposition reprise depuis par le gouvernement de gauche actuel.

On peut trouver de nombreuses autres mesures préexistantes au gouvernement de Mette Frederiksen telles que:

  • Des publications officielles du ministère danois de l’immigration dans des journaux libanais à destination du monde arabe, pour dissuader les migrants de venir au Danemark.
  • Une limitation des mariages mixtes entre personnes possédant la nationalité danoise ou bien un titre de séjour régulier.
  • La prise en charge médicalisée est limitée aux soins d’urgence et en principe payante. Les migrants en situation irrégulière recevront une facture et il leur sera préalablement demandé une preuve de moyens financiers par les prestataires avant tout traitement. L’accouchement est considéré comme un soin d’urgence. La gratuité des soins pour les clandestins incombe aux associations telle que la Croix-Rouge danoise.
  • La nécessité de résider au Danemark depuis au moins 9 ans sur les 10 dernières années (sauf ressortissants de l’UE) pour bénéficier d’aides sociales.
  • Une exigence d’autonomie financière très stricte. Un couple bénéficiant du regroupement familial devra disposer d’une garantie bancaire d’au moins 15 000 €. Si le couple reçoit des prestations d’aide sociale, le permis de séjour temporaire du conjoint étranger peut être révoqué ou non prolongé.
  • Les employeurs encourent une peine d’emprisonnement pouvant aller jusqu’à 2 ans pour avoir employé un étranger sans le permis de travail requis. Le Danemark sanctionne également d’une peine d’emprisonnement pouvant aller jusqu’à deux ans toute aide intentionnelle apportée à un étranger pour entrer, transiter, ou rester illégalement dans le pays.

Dans le cadre de l’UE, le Danemark bénéficie d’un statut dérogatoire lui permettant des libertés sur sa politique d’immigration. En effet, suite à l’échec du référendum sur le traité de Maastricht en 1992, rejeté par la population danoise, des négociations ont eu lieu au sein du Conseil de l’Europe et ont abouti à l’accord d’Édimbourg. Le Danemark a négocié à cette occasion de garder la main sur sa politique intérieure. Ainsi, ils ne sont pas contraints juridiquement pour la gestion des flux migratoires, mais doivent respecter tous leurs engagements vis à vis de l’espace Schengen. Du fait d’une logique juridique très différente de celle française, donnant moins de pouvoir d’interprétation des textes aux juges, le Danemark n’est pas non plus contraint déraisonnablement par son adhésion à la CEDH.

En tout état de cause, le Danemark bénéficie d’une exemption de participation à la politique de migration et d’asile dans les compétences de l’UE en matière de justice et d’affaires intérieures.  Et il décide ainsi de façon autonome du traitement juridique des ressortissants de pays tiers.

Conclusion

Le Danemark est un pays occidental parfaitement normal et démocratique, sauf qu’ils ont passé le cap anti-immigration dans les années 2000. Ce virage a été possible grâce à une extrême-droite de gouvernement, qui visait la collaboration avec le centre, qui se donnait comme objectif de peser dans les coalitions successives. Après plusieurs défaites électorales dans les années 2015, la gauche danoise emboite le pas et promeut à son tour une politique d’immigration reste très stricte, qui fera son succès jusqu’à aujourd’hui.

Il n’y a pas eu de dérive populiste. Le Danemark n’a pas eu non plus besoin de sortir de l’UE, ni d’adopter un logiciel conservateur. Les Danois ont effectué les négociations adéquates lors des différentes ratifications de traités. La natalité danoise a bénéficié d’un système d’allocations généreux, mais aussi et surtout de l’entretien d’une culture nataliste par la société elle-même. Il y a eu un équilibre entre les exigences de la modernité, et la nécessité de préserver une démographie viable, dus en grande partie d’ailleurs à la cohésion et à la culture de la société danoise.

Nous savons que les pays occidentaux sont pris dans une tenaille. D’une part, leur population est vieillissante, avec de graves conséquences sur l’économie et le système social, mais désormais, ils peuvent de moins en moins recourir à l’immigration pour renforcer leur démographie. En effet, l’immigration est devenue un enjeu très concurrentiel, les populations étrangères de qualité faisant elles-aussi à leur tour de moins en moins d’enfants. Une immigration peut en effet poser bien plus de problèmes qu’elle n’en résout, selon le flux d’immigration choisi, y compris sur le plan purement économique.

L’immigration de qualité devenant chaque jour un peu plus une denrée rare, la clé de la réussite pour les pays occidentaux sera probablement à l’image du Danemark: être capable de rehausser la natalité, d’accomplir la transition vers la modernité de manière pérenne, de résoudre les erreurs des politiques d’immigration du passé, de proposer un modèle social viable pour les couples actifs, d’être capable de préserver l’identité et l’intégrité de la population d’origine.

Sources supplémentaires:

Danemark 2020 – www.micheletribalat.fr

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3 comments
  1. Serait-il possible pour des pays comme la France de se délier des contraintes de l’UE sur l’immigration ? Après tout, nous avions dit non à Maastricht.
    Mais négocier sur qu’elles bases ?

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