La Megadrive de SEGA, cette console mythique des années 90 que certains situent à l’âge d’or du jeu vidéo!
Si vous êtes nostalgiques de cette époque et de l’univers de ces jeux, sachez que SEGA ressort ses anciens titres de l’époque 16-bit pour smartphone, mais aussi d’autres plus récents, en téléchargement sur Google play. Au choix, nous avons Sonic 1 et 2 (version megadrive), Beyond Oasis (aka la légende de thor), l’excellent Phantasy star 2, les classiques Altered beast et Golden axe, ainsi que The Revenge of Shinobi, Shining force, Comix zone, Ristar, Gunstar heroes, ESWAT, Decap attack, VectorMan, Space harrier 2, Kid chameleon, Dynamite headdy, Crazy taxi, et surtout, Streets of rage 1 & 2 sur lesquelles nous allons un peu nous attarder aujourd’hui.
Traité
Néoréactionnaire
Le premier livre de NIMH
Traité
Néoréactionnaire
Le premier livre de NIMH
Vous pouvez jouer à ces jeux gratuitement, mais il faudra pour cela vous taper quelques publicités (rien de bien méchant), et si ça vous emmerde vraiment, vous devrez payer 2.29 €. La jouabilité n’est pas optimale et l’écran tactile ne satisfera évidemment pas le pur nostalgique à qui il manquera toujours la bonne manette et le fait de devoir souffler dans la cartouche à s’en faire mal au crane. Le gros avantage, qui marque un sérieux point par rapport à nos consoles d’antan, c’est qu’on peut sauvegarder nos parties, ce qui n’était pas le cas avant ! (sauf bien sûr pour les Rpg, où là, c’était obligatoire, mais pour les autres, il fallait les finir d’une traite !)
C’est intéressant de voir le succès d’une saga comme Streets of rage (chez Nintendo, il y avait les Final fight), ce best-seller brutal et incorrect. Nettoyez les rues de la vermine en tabassant des punks dégueulasses, des gros-pleins-de-soupe, des mafieux et des pétasses, tout ça dans une ambiance citadine nocturne. C’est d’ailleurs un thème assez classique dans les jeux du type « beat’em up » (Renegade, Double dragon…).
Ici le scénario est clair : Un syndicat du crime a prit le contrôle d’une ville autrefois paisible. Désormais les rues sont pleines de voyous, de prostituées, de punks qui dorment avachis sur des bancs, de motards bruyants et de petites frappes qui jouent facilement de la lame. Heureusement que vos héros sont experts en combat de rue (ce sont des flics en civil) et peuvent ramasser quelques couteaux ou autres battes pour rétablir l’ordre. En option, vous pouvez même recevoir une aide précieuse de la police qui viendra tirer un coup de bazooka vraiment « bad ass ».
Bien sûr, l’action est répétitive, les graphismes qui étaient très bons pour l’époque peuvent paraître vraiment pauvres (moi je trouve ça toujours aussi beau, mais je suis vieux), et les combinaisons de coups ne sont pas très nombreuses… qu’importe! Ce qu’on cherche en rejouant à ces jeux c’est une ambiance, une esthétique particulière, des souvenirs.
Plutôt que vous taper des disclaimers anti-racistes et des héros gender-fluid, replongez-vous dans l’ambiance unique des Streets of rage !